Poèmes publiés

Désillusion

Les prés sont des langues vertes
Etalées sur du chocolat

Paix

J'entends les morts
Se foutre de moi

Assourdi

Tout ce vacarme
Pour un regard
Lueur
Dans la nuit

Café

Dans ce café
Le temps s'égraine
Comme il en a
Toujours été

Hommage

Il a fallu que nos démons sortent de leurs antres
Qu'ils s'apprivoisent

Désillusion

Les prés sont des langues vertes
Etalées sur du chocolat

Paix

J'entends les morts
Se foutre de moi

Assourdi

Tout ce vacarme
Pour un regard
Lueur
Dans la nuit

Café

Dans ce café
Le temps s'égraine
Comme il en a
Toujours été

Hommage

Il a fallu que nos démons sortent de leurs antres
Qu'ils s'apprivoisent

Sous les grands arbres

Rien ne pousse
sous les grands arbres
Ils vieillissent seuls
c'est tout

Condamné

Je grave ton nom dans les étoiles

Et dans la nuit